mercredi 15 août 2012

Sansevieria


Mon spécimen

Nom : Sansevieria / Langue de belle-mère / Sansevière
Nom latin : Sansevieria trifasciata 'Laurentii'
Nom commun anglais : Sansevieria / Snake plant / Mother-in-law's tongue
Famille botanique : Agavaceae

Cultivars et plantes apparentées : Sansevieria trifasciata 'Golden Hahnii' prend la forme d'une petite rosette de feuilles vertes avec des stries et une large bande jaune doré.
Elle ne dépasse pas 15 cm de haut. Sansevieria trifasciata 'Moonshine' présente un feuillage pâle, vert-gris et bordé d'une fine ligne vert sombre qui atteint rarement plus de 30 cm de haut.

Les feuilles sont de forme triangulaire. Certaines espèces présentent des feuilles de 10 cm de large à la base et 15 cm de long.
D'autres font 6 cm de large au plus et peuvent atteindre 2m de haut et former des buissons.
La floraison consiste en panicules dressées avec des petites fleurs blanches ou blanc-verdâtre sans intérêt. Le fruit est une baie rouge ou orange.
Certaines espèces de Sansevieria sont considérées comme plantes dépolluantes.
Elles absorbent notamment le benzène, le formaldéhyde, le toluène, le trichloréthylène ou encore le xylène

Origine et description :
L'espèce Sansevieria trifasciata est originaire des régions arides d'Afrique.
C'est une plante succulente très robuste, peu exigeante et d'une grande longévité.
Ses feuilles charnues, qui sont élancées avec un bout pointu, sont très rigides.
De couleur vert foncé et marbrées de vert pâle, elles se développent directement à partir du rhizome.
Le cultivar 'Laurentii' possède une bordure jaune sur ses longues feuilles qui peuvent atteindre un mètre.
L'inflorescence, souvent parfumée, se développe chez les sujets âgés.
Il arrive parfois que les plantes fleurissent à l'intérieur si elles sont soumises à des conditions de culture idéales.

Conditions de croissance :
Le sansevieria est réputé pour son endurance aux mauvais soins, à la chaleur et aux arrosages irréguliers.
Il peut tolérer les coins assez sombres pour un certain temps mais sa croissance sera ralentie.
Il est préférable de lui donner une lumière vive et quelques heures de plein soleil.
Placez-le de préférence près d'une fenêtre orientée au sud.
Le sansevieria s'accommode bien des températures normales d'une maison (18-21 ºC) mais tolère aussi des extrêmes allant de 30 ºC en été à un minimum de 12 ºC en hiver.
C'est une plante bien adaptée à une atmosphère sèche.

Facilité de culture :
La culture du sanseveria est très facile, si vous ne l'arrosez pas trop, car c'est une plante robuste qui s'adapte à des situations variées.

Mon spécimen
Arrosage et fertilisation :
Cette plante supporte mieux la sécheresse que les excès d'eau.
En période de croissance (mars à octobre), arrosez-la modérément en laissant sécher en partie le substrat.
En hiver, diminuez les arrosages et laissez sécher le terreau en profondeur entre les arrosages. Ne laissez jamais d'eau dans la soucoupe. Assurez-vous que le centre de la rosette reste toujours sec.
Fertilisez trois ou quatre fois par an pendant la période de croissance avec un engrais pour plantes d'intérieur, ou un engrais tout usage comme le 20-20-20, dilué de moitié.

Taille et entretien :
Lorsque la plante fleurit, taillez l'épi de minuscules fleurs jaunes dès qu'il est fané. Nettoyer le feuillage poussiéreux à l'aide d'un chiffon humide. Supprimez à la base les feuilles abîmées.

Rempotage :
Rempotez le sansevieria, au printemps, uniquement lorsque les racines sont très à l'étroit dans leur pot, soit environ tous les trois ans.
Le substrat doit très bien se drainer et peut être composé de tourbe de sphaigne et de sable grossier ou d'un terreau pour plantes d'intérieur additionné de sable grossier ou de perlite.

Multiplication :
Par rejetons ou drageons , par division de touffes  et par bouture de feuille.

Hedera helix (Lierre commun)


Le Lierre rampant ou grimpant ou « Lierre commun » (Hedera helix), parfois surnommé à tort « bourreau des arbres » ou « herbe de saint-Jean », est une liane à feuilles persistantes en hiver, de la famille des Araliaceae. Il est spontané en zone tempérée eurasiatique de l'hémisphère nord. Il est également cultivé comme plante ornementale.

C'est une liane arborescente, dont l'ancêtre est probablement d'origine tropicale. C'est une des rares lianes que l'on trouve en Europe et en Asie Mineure (avec la clématite, le houblon ou le chèvrefeuille) qui forme des tiges ligneuses rampantes ou grimpantes de taille indéfinie (il atteint facilement 30 mètres de long et 25 m en hauteur)

Feuilles :

Les feuilles du lierre sont alternes, à limbe assez coriace, vert foncé ou légèrement blanchie sur les contours du limbe. Elles présentent deux formes différentes selon leur fonction, on parle de dimorphisme foliaire ou hétérophyllie : les feuilles caulinaires sont palmatinervées à 5 lobes plus ou moins profonds (parfois 3) celles des tiges florifères (ayant accès à la lumière) sont ovales, à sommet aigu. Ces feuilles sont persistantes et tombent au cours de leur sixième année.

Rameaux :

Les rameaux sont grimpants et partiellement ornés de poils étoilés grisâtres à 5-6 rayons.
Ils portent au milieu des entrenœuds des crampons parfois difficiles à enlever à mains nues, qui sont des racines transformées émettant de nombreux poils ventouses qui s'accrochent à un support (mur, arbre, arbuste, etc.)
Ces racines modifiées n'ont aucune fonction absorbante : le lierre n'est pas une plante parasite (à la différence du gui par exemple), et il se nourrit uniquement avec son système racinaire souterrain.

Fleurs :

Les fleurs, jaune verdâtre, portent cinq pétales. Elles sont regroupées en ombelles elle-mêmes disposées en grappes terminales.
La floraison s'étale en septembre-octobre, et la fructification s'effectue vers la fin de l'hiver, début du printemps.
Le lierre présente donc un cycle phénologique inversé par rapport aux plantes dont il se sert comme support.
Ce sont parmi les dernières fleurs en saison à offrir du pollen aux abeilles.

Fruits :

Baies
Les fruits du lierre grimpant sont des baies (8 à 10 mm) bleues violette groupées en grappe.
Ils sont toxiques pour l'homme mais jouent un rôle fondamental pour les oiseaux à la fin de l'hiver.

Il existe plusieurs centaines de variétés de lierre cultivé. Citons en particulier :

Hedera helix 'Anita', lierre miniature ;
Hedera helix 'Erecta', à port buissonnant et tiges dressées portant de petites feuilles rondes ;
Hedera helix 'Gavotte', lierre à feuilles de saule, entières lancéolées ;
Hedera helix 'Maple leaf', lierre à feuille d'érable, à lobes profondément divisés et dentelés ;
Hedera helix 'Pedata', lierre à feuilles dites pédalées, à cinq lobes dont le lobe central est long et étroit ;
Hedera helix 'Sagittifolia', lierre à feuilles sagittées vert tendre, à cinq lobes dont le lobe central est très allongé ;
Hedera helix 'Sagittifolia variegata', lierre à feuilles sagittées vert et crème, à cinq lobes dont le lobe central est très allongé.

Il existe également de nombreuses variétés à feuillage panaché.

Les bonsaïs de Lierre



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Ma bouture pour un futur bonsaï Lierre
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mardi 14 août 2012

Plantes en vrac

Voici quelques unes des plantes en ma possession ...

Pour commencer la Chlorophytum ou plante araignée ... plutôt marrante, en juillet / août elle développe ses stolons avec toute une nuée de jeunes pousses qui vont grandir ainsi rattachées à la plante mère, il suffit alors de les détacher de la tige et de les plantés dans du terreau.

Photo ajoutée le 16 août


Photo ajoutée le 2 février 2013


Agave du Mexique
Celle-ci, grandi lentement à son rythme, il est d'ailleurs préférable car elle peut devenir très envahissante !



Photo ajoutée le 2 février 2013


Astrophytum myriostigma

Une espèce de plante du genre Astrophytum et de la famille des Cactaceae.
Elle est originaire des hauts plateaux (jusqu'à 2500m d'altitude) du Mexique nord-est et central.
Dans les collections, malgré sa relative fragilité, la plante est appréciée pour son apparence et son côté « cactus sans épines ». Il est surnommé cactus mitre d'évêque.
Astrophytum myriostigma est un cactus sans épines avec de trois à sept côtes verticales prononcées (cinq en général). De nouvelles côtes peuvent apparaître avec l'âge. Elles sont recouvertes de petits poils blancs très courts. Les sujets jeunes sont de forme sphérique mais prennent une forme cylindrique en vieillissant.
Jusqu'à environ 70-100 cm de hauteur et 10-20 cm de diamètre. La tige est souvent couvert de taches blanchâtres.
Le cactus de plus de 6 ans fleurit au printemps ou en été avec une ou plusieurs fleurs cireuses de 4-6 cm de diamètre, près du sommet de la plante. Les nombreux pétales sont jaunes, parfois avec une base de couleur orange ou rouge. Des fruits rouges et poilus de 2-2,5 cm de diamètre peuvent apparaître.
Astrophytum myriostigma est le seul Astrophytum que l'on puisse bouturer en prélevant le sommet.


Un autre cactus, celui-ci est un Mammillaire.
Mammillaria est un genre majeur de la famille des Cactaceae. Il est composé d'environ 170 espèces.
Ces espèces de cactus sont le plus souvent originaires du Mexique, certains proviennent du Nord de l'amérique du Sud ou du sud des États-Unis. Le nom vient du latin « mamilla », c'est-à-dire « mamelle », en raison de la forme de cette espèce.
Ses espèces sont parfois appelées « cactus hameçon » en raison de la forme recourbée des épines de certaines d'entre elles, ou encore « cactus pelote » en raison de l'apparence générale un peu laineuse.


A suivre ...

Spiraea Japonica Manon



Vivaces ou arbustes cespiteux à drageonnants.
Feuilles caduques alternées, simples ou composées. Fleurs blanches ou roses, hermaphrodites ou polygames par avortement, disposées en grappes, corymbes ou thyrses.
Périanthe en principe pentamère, à calice subcampanulé, 15-60 étamines, ovaires à 6 carpelles surmontés de 2-3 styles.
Fruit en follicule contenant des graines à embryon exalbumine.


Descriptif de l'espèce S. JAPONICA :
Arbuste de 1-1,50 m, à pousses dressées.
Feuilles oblongues, duveteuses, glauque en dessous, vert sombre, 12 cm. Larges corymbes plans de 20 cm. Fleurs roses ou blanches.

Acer rubrum


L'érable rouge ou Acer rubrum (aussi connu sous le nom d’érable de Virginie, de plaine) est une espèce d'arbres de la famille des Sapindacées, originaire de l’est du Canada et des États-Unis, et largement cultivé comme arbre d'ornement. Il est l'arbre-emblème de l'État de Rhode Island.

Description : Canadian maple leaf Acer rubrum
Date : 14 octobre 2006, 17:00:36
Source : Autumn canadian maple in Ontario Canada, own work
Auteur : Ktsquare from Canada


L'érable rouge est l'un des arbres caducs les plus communs et les plus répandus dans l'Est de l'Amérique du Nord. On le trouve à l'état naturel au nord-ouest depuis le lac des Bois à la frontière de l'Ontario et du Minnesota jusqu'à Terre-Neuve au nord-est.
Sa limite méridionale va de la Floride jusqu’à l'est du Texas.
L’arbre peut vivre dans des milieux naturels très différents allant des terrains marécageux jusqu’aux sols plus secs. Il tolère également une large gamme de pH, bien que la chlorose puisse l'affecter en condition de sols alcalins. Il pousse en général dans des zones dont l’altitude est inférieure à 900 mètres.
C'est la première espèce d'érable américain qui fut introduite en Europe.
C'est probablement John Tradescant qui le rapporta de Virginie dans les années 1650 dans son jardin près de Londres.

L'érable rouge est un arbre de taille moyenne, pouvant atteindre des hauteurs de 15 à 30 mètres (rarement plus de 40 m), un diamètre de 0,5 à près de 2 m, et peut vivre de 100 à 200 ans, parfois plus.
Bien qu'il soit généralement assez facile à identifier, l'érable rouge est de tous les érables d'Amérique du Nord le plus sujet à des variations de ses caractéristiques morphologiques.
Les feuilles de l'érable rouge sont les plus aisées à distinguer de celles des autres érables.
Comme chez tous les érables américains, elles sont caduques et disposées en opposition sur la tige.
Elles ont en moyenne 5 à 10 cm de long pour une largeur identique, et sont divisées en trois à cinq lobes irrégulièrement dentés.
La face supérieure des feuilles est vert clair tandis que la face inférieure est blanchâtre. Les feuilles prennent une couleur rouge vif à l'automne, cette coloration étant plus accentuée en sol humide qu'en sol sec.
Les pétioles sont habituellement rouges, de même que les rameaux.
En comparaison, les feuilles de l'espèce apparentée proche, l'érable argenté (Acer saccharinum), sont plus profondément lobées et ont presque toujours cinq lobes.
Le pétiole de la feuille d'érable rouge est beaucoup plus court et d'un rouge plus vif; les lobes sont plus trapus et les dents beaucoup plus régulières et rapprochées.
Les rameaux de l'érable rouge ont une écorce rouge à gris-brun et glabre. Des pousses naines sont présentes sur de nombreuses branches.
En hiver, les rameaux portent des bouquets de bourgeons floraux, facilement reconnaissables de loin.
Les rameaux de l'érable rouge sont pratiquement impossibles à distinguer de ceux de l'érable argenté, sauf que ces derniers exhalent une odeur désagréable quand ils sont froissés.
Les fleurs sont unisexuées, les fleurs mâles et femelles se trouvant dans des inflorescences distinctes, mais généralement sur le même arbre (mais pas toujours).
Les fleurs femelles (graines), sont rouges avec cinq pétales très petits. Les fleurs mâles (pollen) ne comportent que des étamines jaunes et sont portées par de courtes pousses sur les branches.
La floraison commence tôt dans l'année, après une période de 1 à 30 jours à température croissante.
Le fruit est une samare, de couleur variant du rouge au brun et au jaune. les samares, de 15 à 25 cm de long, sont portées par paires (disamares) avec un angle de 50 à 60 degrés.
Elles mûrissent de fin mai ou début juin1. Elles ont besoin de stratification pour germer; la germination a lieu le printemps suivant.
L'érable rouge s'hybride facilement avec l'érable argenté ; l'hybride, connu sous le nom d'érable de Freeman, Acer x freemanii, présente des caractères intermédiaires entre ceux des deux parents.


L'érable rouge est largement cultivé comme arbre d'ornement dans les parcs et les grands jardins, sauf sur sols alcalins ou salés.
C’est l'un des arbres introduits les plus communs dans les régions du nord-ouest des États-Unis.
Sa popularité provient des couleurs rougeâtres de ses fleurs au printemps et de ses feuilles en automne.
L’arbre fut introduit en Grande-Bretagne dans les années 1650 et fut rapidement cultivé ensuite pour être planté en Europe.
L'érable rouge est un bon choix comme arbre à planter dans les zones urbaines sous réserve qu'il y ait suffisamment d'espace pour qu'il puisse développer son système racinaire.
L'érable rouge est excellent dans des conditions urbaines difficiles supportant à la fois la sècheresse et l'humidité, et plus tolérant à la pollution que l'érable à sucre.
Comme l'érable argenté, il attire les écureuils, qui consomment ses bourgeons au début du printemps, bien que ceux-ci préfèrent les plus gros bourgeons de l'érable argenté.
Dans l’industrie forestière, il est considéré comme un arbre à bois de qualité mais néanmoins de moins bonne qualité que celui de l'érable à sucre.
Son bois est ainsi plus tendre, plus coloré, plus difficile à travailler et il travaille plus lors de son séchage après traitement mécanique.
On préfèrera employer par conséquent d’autres érables à bois plus durs pour beaucoup d’applications mais il est toutefois utilisé dans la fabrication de meuble, de palettes en bois mais également pour fabriquer du papier.
La sève de l'érable rouge peut aussi être utilisée pour produire du sirop d'érable ou du sucre, mais elle est moins riche en sucre que celle de l'érable à sucre et de l’érable noir.
Le goût du sucre est également moins délicat par rapport aux deux autres espèces



lundi 13 août 2012

Le Forsythia

Il est je pense un des plus connu et l'un des premiers à nous annoncer l'approche du printemps avec sa merveilleuse floraison jaune !


Ses rameaux sont dressés puis étalés et se couvrent de nombreuses petites fleurs d'un jaune lumineux avant l'arrivée des feuilles.
C'est un incontournable en isolé, en groupe ou en mélange dans des massifs ou des haies fleuries.
Le forsythia, aussi appelé mimosa de Paris fait le bonheur des parcs et jardins de toutes tailles.
Ses rameaux coupés en hiver peuvent fleurir en vase à l'intérieur. Après la floraison, rabattez-le, cela favorisera la floraison suivante.

- Origines géographiques :
Forsythia suspensa croisée avec Forsythia viridissima Obtenu vers 1880.
- Dimensions adultes :
Hauteur jusqu'à 3 mètres, largeur jusqu'à 2 mètres.
- Feuillage :
 Caduc.
- Type de sol :
Tous sauf calcaire actif.
- Climat :
Rustique jusqu'à -29°C.
- Exposition :
Pleine lumière.






Le Forsythia en Bonsaï :

 Famille : Oleaceae
 Genre : Forsythia
 Espèce : Forsythia ovata
 Nom commun : Forsythia - Mimosa de Paris




Espèce d’arbuste très vigoureux à feuilles caduques qui est généralement un des premiers arbres à fleurir à la fin de l’hiver.
Ses fleurs jaunes sont donc le principal intérêt du Forsythia.
Toutes les espèces de Forsythia conviennent pour un traitement en bonsaï

 Bouture :
Se bouture très bien sur vieux bois au début du printemps (avec ou sans hormone de bouturage)
ou sur bois vert en fin de printemps, le taux de réussite très élevé. Attention aux radicelles qui sont très fragiles.

 CULTURE
 Difficulté : Facile

 Vitesse de croissance :
Allongement rapide des branches mais en pot l’épaississement du bois est assez lent

 Exposition :
 Plein soleil puis ombré l’après-midi en Eté

Ventilation :
Supporte le vent

Hygrométrie :
Eviter le dessèchement en Eté alors que les boutons floraux vont se préparer pour le printemps suivant

Plage de température : Rustique jusque -10°C

ESTHÉTIQUE

Nombreuses formes possibles, sauf peut-être les forêts qui deviendraient vite trop touffues compte-tenu du volume de feuillage et de ramifications.

 Styles : Droit formel ou non, en balai, se prête également bien aux double ou triple tronc pour une floraison maximum qui est bien l’attrait premier de ce bonsaï.

 Poteries : Brun, bleu foncé, vert foncé, beige, tout ce qui s’accorde avec les fleurs jaune très vif.
 Ne pas prévoir un pot trop plat, fort volume de radicelles à hydrater correctement toute l’année.

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Et maintenant, voici mon Forsythia, tout récent, jeune plant acheter en godet.

Le voici d'abord quelques temps dans son pot de culture et ensuite dans son bac à plantes où il a élu son domicile définitif ...

Le 15 septembre 2012 
Incroyable, plusieurs boutons se sont formés et une fleur est apparue aujourd'hui !
C'est la première fois que je vois un Forsythia fleurir au 15 septembre ...







dimanche 12 août 2012

Mon premier bonsaï ...

On m'avait donner, en 2009, un Ficus de près de deux mètres de hauteur mais qui avait séjourné deux années de suite à l'abandon dans son pot dans un coin du jardin ! Le voyant dans un état lamentable, j'ai prélevé une bouture avec dans l'idée de créer mon premier bonsaï ...

Voici donc ma bouture (de 13cm au départ) à l'âge de 2 ans.
Ne sachant pas trop bien comment il allait évolué, je l'ai conduit sur deux branches pour commencer !






Maintenant, étant dans sa quatrième année, j'ai pris le risque, après avoir lu quelque part que le Ficus pouvait  supporter un traitement assez lourd et se remettre facilement après une période de repos, j'ai donc pris le risque de le réduire complètement, passant de 30 cm à 11 cm hors racines !
Il vient de passer 7 semaines en bac de culture dans un mélange terreau / sable et ce matin, victoire, j’aperçois la naissance de deux yeux de quelques mm ^^

Photo ajoutée le 16 août / 
On peut voir nettement les deux nouvelles pousses à gauche et à droite qui annonce la reprise du sujet.




Et voilà, je vais maintenant le laisser tranquille dans son bac jusqu'au printemps où il sera temps de le mettre dans une jolie poterie chinoise ... Rendez-vous donc en mars 2013 pour la suite ;o)

Épiphyte (2) Photos

L'épiphyte Schlumbergera fleuri deux fois, une première fois en décembre / janvier, d'où son nom de cactus de Noël, et une seconde fois, après une très courte période de repos, en février / mars ...

Voici quelques photos de ses magnifiques fleurs.








samedi 11 août 2012

Épiphyte Schlumbergera

Je possède cette épiphyte depuis maintenant quelques années, comme elle devient chaque fois un peu plus envahissante, je la taille au bout de 2 / 3 ans pour la rajeunir !

La voici au 1 juin 2012 elle fait +/- 90cm d'envergure et plus de 30cm de haut, je dois dire que c'est assez envahissant !


Les photos suivantes montre la plante rajeunie et divisée en deux parties ...



Me réjouis déjà de voir sa floraison hiver 2012 / 2013

Mon arbre de paix

J'ai tout récemment fais l'acquisition d'un Olivea Europaea, autrement dit un olivier !
Bien que ça ne fut pas vraiment la bonne période pour tailler les Bonsaï, celui-ci avait probablement été négliger quelques temps. Le centre de l'arbre étant complètement boucher tant les ramifications poussaient tout aussi bien vers le centre que vers le bas ... Voici donc ma nouvelle acquisition après éclaircissage des mauvais rameaux.




 N'hésitez pas à laisser votre commentaire !
Les conseils sur la taille et l'entretien de l'olivier en bonsaï sont également les bienvenus !

Vertus et bienfaits de l'olive :


Le régime dit "méditerranéen" est un modèle d'alimentation répandu dans les pays du pourtour du même nom, surtout en Grèce, en Crète et en Italie du Sud.

Il a fait l'objet de nombreuses études médicales. Il s'est avéré particulièrement bénéfique dans le maintien de la faible mortalité par maladies cardio-vasculaire des personnes qui s'alimentent de cette manière.

Ce modèle d'alimentation outre les légumineuses, les fruits, les graines, les noix, utilise l'huile d'olive comme principale source de matière grasse. Ils font d'autre part une faible consommation de viande et de produits laitiers.

Symbole de convivialité, les olives sont aussi et surtout un aliment à part entière pour certains peuples, notamment en Espagne, en Grèce, en Italie, et au Portugal.

Retouvez en détail ci-dessous les bienfaits de l'huile d'olive sur les différents organes du corps humain.
L'huile d'olive est l'aliment gras le plus digeste ... ne ralentit pas l'évacuation de l'estomac, s'oppose au reflux des aliments vers l'œsophage, ne modifie pas l'acidité gastrique.

L'huile d'olive,
 favorise une évacuation douce, régulière et complète de la bile vésiculaire vers l'intestin,
 met le foie au repos pendant la durée de son action sur la vésicule biliaire,
 ne modifie pas la teneur de la bile en cholestérol et n'augmente pas les risques de calculs biliaires.

 L'huile d'olive facilite la digestion intestinale des aliments "lourds" tels que les graisses.

 L'acide oléique, composant majeur de l'huile d'olive, rend celle-ci parfaitement assimilable par l'intestin.
Toute l'énergie de l'aliment (9 kcal/g) est donc disponible pour l' organisme.

En raison de son impact biologique, l'huile d'olive est l'aliment gras de choix dans les régimes de prévention des maladies cardio-vasculaires (infarctus du myocarde surtout), cholestérol total inchangé voire abaissé,
augmentation du bon cholestérol H.D.L., baisse du mauvais cholestérol L.D.L.

Artères :
La teneur élevée en vitamine E antioxydant de l'huile d'olive évite la formation des radicaux libres et, en conséquence, des plaques d'athérome.
En abaissant l'agrégation plaquettaire, l'acide oléique de l'huile d'olive concourt lui aussi à prévenir et à réduire l'athéromatose (plus connue sous le nom d'artériosclérose).

Veines :
L'acide oléique abaisse la viscosité sanguine et permet à l'huile d'olive de prévenir et d'éviter les thromboses.

L'acide oléique de l'huile d'olive est indispensable à l'os humain, à sa composition, à sa croissance normale.
L'huile d'olive est le seul aliment gras qui favorise et maintienne une bonne densité osseuse des vertèbres chez la femme adulte.

Bienvenue dans Mes plantes et Bonsaï

Amateur de plantes d'appartement, de cactus et depuis peu, de Bonsaï que j'apprécie tout particulièrement !
N'ayant malheureusement pas de jardin, mais disposant d'un beau grand toit juste sous ma fenêtre, exposer à  l'est et protéger d'un haut mur côté nord, je vous présente mon jardin en pot sur la terrasse ...